La genèse :
Le Chemin des Messagers est un projet de film vieux de plusieurs années et auquel je m’étais remis à l’écriture récemment. Il a pris un nouveau tournant avec la perte de Markus, mon fils âgé de neuf semaines. La disparition de cet être si cher à mes yeux doit servir à quelque chose. C’est justement dans l’accomplissement de cette certitude que s’est construit ce film que j’ai souhaité intimement connecté à mon expérience personnelle. Cela dans le but qu’il s’adresse à toutes les personnes ayant perdu un être cher.
Plutôt que de réaliser un film réaliste et dramatique, j’ai opté pour le genre fantastique qui correspond le mieux à mon univers personnel, certainement par attirance pour l’étrange et le mystérieux. Ce choix me permet de laisser libre cours au ressentiment que j’ai désormais vis-à-vis de la mort.
Dans ce huis clos se déroulant en Occitanie, le ton est volontairement sombre mais le côté noir est là pour montrer la lumière. J’aborde également dans le scénario, les thèmes de la violence envers la femme, de l’éducation d’un enfant et de l’enfance en général avec un intérêt pour les enfants indigo appelés aussi enfants de lumière. Les autres thèmes abordés plus généralement sont la vie, la mort, la suite. J’exprime aussi mon opinion sur les liens entre les humains et l’envie de raconter une histoire, un mythe ou un conte pour continuer à garder une part de rêve en nous. Enfin, j’ai un attrait envers la façon de raconter une histoire et d’en faire découler des idées telles que la similitude entre toutes les religions ou du moins des points communs.
Ce film se veut un hymne à la vie qui reste malgré toutes les épreuves que l’on peut endurer, une chose merveilleuse à traverser. Il a pour précepte de susciter la réflexion sur ce que nous apprend forcément la mort d’un être cher.
Le Chemin des Messagers est un projet de film vieux de plusieurs années et auquel je m’étais remis à l’écriture récemment. Il a pris un nouveau tournant avec la perte de Markus, mon fils âgé de neuf semaines. La disparition de cet être si cher à mes yeux doit servir à quelque chose. C’est justement dans l’accomplissement de cette certitude que s’est construit ce film que j’ai souhaité intimement connecté à mon expérience personnelle. Cela dans le but qu’il s’adresse à toutes les personnes ayant perdu un être cher.
Plutôt que de réaliser un film réaliste et dramatique, j’ai opté pour le genre fantastique qui correspond le mieux à mon univers personnel, certainement par attirance pour l’étrange et le mystérieux. Ce choix me permet de laisser libre cours au ressentiment que j’ai désormais vis-à-vis de la mort.
Dans ce huis clos se déroulant en Occitanie, le ton est volontairement sombre mais le côté noir est là pour montrer la lumière. J’aborde également dans le scénario, les thèmes de la violence envers la femme, de l’éducation d’un enfant et de l’enfance en général avec un intérêt pour les enfants indigo appelés aussi enfants de lumière. Les autres thèmes abordés plus généralement sont la vie, la mort, la suite. J’exprime aussi mon opinion sur les liens entre les humains et l’envie de raconter une histoire, un mythe ou un conte pour continuer à garder une part de rêve en nous. Enfin, j’ai un attrait envers la façon de raconter une histoire et d’en faire découler des idées telles que la similitude entre toutes les religions ou du moins des points communs.
Ce film se veut un hymne à la vie qui reste malgré toutes les épreuves que l’on peut endurer, une chose merveilleuse à traverser. Il a pour précepte de susciter la réflexion sur ce que nous apprend forcément la mort d’un être cher.
Histoire :
Le point de départ du récit : Sierra, une jeune femme d’une trentaine d’années, anthropologue de son métier, quitte son domicile conjugal en compagnie de sa fillette de neuf ans, India. Lenny, son copain, a encore une fois porté la main sur elle. Elles s’éloignent de leur maison en voiture. En pleine nuit, elles débarquent dans une vieille demeure familiale isolée de tout.
C'est dans ce lieu, loin de toute civilisation et après plusieurs nuits remplies de cauchemars et de présences à première vue hostiles, que Sierra, transposée dans un autre monde, va être amenée à réfléchir au sens de la vie, de sa vie.
Musique :
La musique du film est actuellement en composition. Jean-philippe Carboni, mon ami de toujours nous livre ici un premier morceau. Un extrait de l'ambiance vers laquelle nous nous dirigeons vous est dévoilé. Le titre du morceau est : Je n'ai pas vu tes premiers pas.